Interdit aux enfants de moins de 3 ans. Ils pourraient ingérer les plus petites pièces.
ENZYM sculpte. Et il tend à des réalisations de plus en plus méticuleuses, de plus en plus précieuses. Ses compositions sont le fruit d’agencements hybrides. On l’a découvert en 2005 ; il imbriquait alors ses samples comme l’on compile, comme l’on juxtapose des légos suédois. Observant les couleurs, organisant l’architecture, parfois même usant de la thermosoudure. Puis il les plongeait dans des nappes de cumulo nimbus aux contours bien nets.
Son travail se complexifie – pour le plaisir des dégustateurs d’électronica, des amateurs de grands huit intèrieurs – les pianos acidulés ou suaves, synthétiques ou non, comme liant.
Et la gamme d’ENZYM sound s’élargit : toujours quelques légos en guise de fondations sur lesquelles poussent désormais différentes essences qui jaillissent non plus de nappes mais de rivières pleines de zooplancton…
Ainsi l’on peut affirmer, qu’à partir de sculptures naïves aux strates très plastiques, ENZYM s’est formé en véritable orfèvre. Et la finesse de son travail repose évidemment sur son outil favori : les enzymes.
ENZYM sculpts, and he creates more and more meticulous and valued realizations. We discovered him in 2005. He was mixing his samples like people juxtapose Swedish Legos. (…) His work becomes more complex for the pleasure of electronica fans with sweet, synthetic or not, pianos. With time, from naive sculptures, ENZYM became a real goldsmith. The delicacy of his work comes from his favorite tool: enzymes.
Fiona Jenkinson